Petite robe très douce imaginée autour d’une grande torsade centrale sur la jupe, que j’ai pris à l’envers comme le jersey qui l’entoure pour voir le ciel autrement, et les flocons tomber.
Avancée à l’aveuglette, de haut en bas, avec des petits raglans tout simple. Un col V arrondi mais profond pour passer les petites têtes lourdes de rêves, des petites manches ballons pour s’envoler en inspirant, une jupe bien longue qui m’évoque un royaume perdu dans la neige, ou une petite tâche au milieu du revert des montagnes au printemps, et la rondeur des touches de mousses aux bord du monde.
Et le poids lunaire d’un bel alpaga, pour mieux tourner en volant.
Bref. Une image douce dans laquelle je voyais bien mon Olympe, encore trop petitoune pour se montrer dedans.
Très jolie cette petite robette, tout comme la précédente, elle me fait craquer!
La douceur et la poésie s’invite dans cette belle torsade centrale pour accueillir une bien jolie libellule…
Merci beaucoup pour ton gentil mot dans mon petit univers 🙂
qu’elle est belle, et comme elle a l’air douce…
comme elle va être bien ta bébée dans cette si jolie robe…
j’ai envie de toucher l’écran pour mesurer ta robe, sa douceur, son poids, la retourner pour tout examiner tant elle me plaît !
et surtout, j’ai hâte pour toi qu’Olympe puisse la porter pour alléger encore ses journées de bébée lovée…
Très jolie robe avec une magnifique torsade!
Que de poésie tant dans les mots qu’au travers de cette petite merveille de robette…
Te voilà bien inspirée avec ces jolis fils de Solenn et des Alpes.
Tu nous montreras avec ta pépette ?